











Peu répandu en France, le préservatif féminin est pourtant une idée « qui fait son chemin » dans un certain nombre de pays. Et pas seulement dans des pays en voie de développement. LONUSIDA, co-parrainée par plusieurs agences des Nations-Unies , sattelle à sa promotion et souligne que là où on lutilise régulièrement, il permet dobtenir une réduction de 34% du nombre des maladies sexuellement transmissibles. Un des principaux obstacles à sa diffusion serait son prix nettement supérieur à celui du préservatif masculin. Mais déjà, grâce à des accords avec une compagnie fabricante, lONUSIDA est parvenue à obtenir un prix secteur public inférieur à 5 francs pour les pays en voie de développement. Dix pays ont passé commande et plus de 30 autres seraient intéressés. Cest peut-être le début du succès, mais il restera sans doute à surmonter bien des inhibitions culturelles… Une réduction de 34% du nombre des maladies sexuellement transmissibles.
Source : OMS, UNICEF, Banque Mondiale, UNESCO, PNUD (Programme des Nations-Unies pour le Développement) et FNUAP (Fonds des Nations-Unies pour les Activités de Population.
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