Préservatifs: les femmes aussi

20 juin 1997

Peu répandu en France, le préservatif féminin est pourtant une idée « qui fait son chemin » dans un certain nombre de pays. Et pas seulement dans des pays en voie de développement. L’ONUSIDA, co-parrainée par plusieurs agences des Nations-Unies , s’attelle à sa promotion et souligne que là où on l’utilise régulièrement, il permet d’obtenir une réduction de 34% du nombre des maladies sexuellement transmissibles. Un des principaux obstacles à sa diffusion serait son prix nettement supérieur à celui du préservatif masculin. Mais déjà, grâce à des accords avec une compagnie fabricante, l’ONUSIDA est parvenue à obtenir un prix secteur public inférieur à 5 francs pour les pays en voie de développement. Dix pays ont passé commande et plus de 30 autres seraient intéressés. C’est peut-être le début du succès, mais il restera sans doute à surmonter bien des inhibitions culturelles… Une réduction de 34% du nombre des maladies sexuellement transmissibles.

  • Source : OMS, UNICEF, Banque Mondiale, UNESCO, PNUD (Programme des Nations-Unies pour le Développement) et FNUAP (Fonds des Nations-Unies pour les Activités de Population.

Destination Santé
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.

Aller à la barre d’outils