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Au mois de septembre, un total de 13 504 femmes avaient eu recours à une explantation de leur prothèse. Parmi ces interventions, 9 361 ont été des explantations préventives. Dans la majorité des cas (79%), « les prothèses ont été trouvées intactes », fait savoir l’Agence nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM).
Toutefois, l’agence signale que 3 188 femmes ont été victimes d’une rupture de leur prothèse. C’est 77 de plus qu’à la fin du mois d’août. A ce jour, 1 862 femmes ont souffert d’une réaction inflammatoire due à leurs implants. « Ces événements indésirables sont fréquents et de survenue précoce », souligne l’ANSM. En effet, « la médiane de survenue est de 5 ans et 11 mois pour les ruptures, et de 5 ans et 4 mois pour les réactions inflammatoire », précise l’agence.
Ces données ne font que confirmer le bien-fondé de la politique d’explantation préventive décidée par la France en décembre 2011. Une intervention reste donc recommandée aux femmes porteuses de prothèses mammaires PIP, même sans signe de détérioration de l’implant.
Source : ANSM, 30 octobre 2012
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