











Ces grossesses « ectopiques » – l’autre nom quelquefois donné aux GEU – sont relativement fréquentes : 2 cas pour 100 naissances.
Plusieurs facteurs de risque peuvent être à leur origine. Parmi ces derniers figurent un antécédent de GEU, le tabagisme, une grossesse tardive, un antécédent d’interruption volontaire de grossesse (IVG), une chirurgie tubaire ou une infection sexuellement transmissible (IST).
Aucun symptôme n’est spécifique de la GEU. Leurs manifestations sont variables et parfois trompeuses. Toutefois, une GEU peut être suspectée chez toute femme en âge de procréer présentant des douleurs pelviennes, des saignements en début de grossesse ou victime d’une syncope inexpliquée. Dans tous les cas, il est indispensable de consulter rapidement.
Seules une échographie ou une coelioscopie permettront d’affirmer un diagnostic. Si la grossesse extra-utérine est confirmée, le spécialiste évaluera la nécessité de procéder soit à une intervention chirurgicale, soit à la prescription d’un traitement médicamenteux.
Source : Le Merck manuel, 4ème édition
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