











© Wild Drago/Shutterstock.com
Le blanc, l’aile ou la cuisse ? D’une manière générale, les volailles sont particulièrement riches en protéines. Lesquelles sont des atouts anti-fatigue de premier choix. En plus, ces volatiles sont relativement pauvres en lipides, même si leur teneur dépend de la partie de l’animal que nous consommons. Le « blanc » sera plus maigre que les cuisses par exemple. Et bien sûr que la peau, où sont concentrées les mauvaises graisses des volailles.
Quelle volaille pour la ligne ? La teneur en lipides diffère également d’un animal à un autre. Le poulet et la dinde figurent ainsi parmi les volailles les plus maigres. Une escalope de 100g (sans la peau) ne vous apportera que 3% à 4% de matières grasses. Le pigeonneau constitue aussi une bonne pioche avec seulement 3% de gras.
A l’inverse la poule (22%), l’oie rôtie (17,5%), la caille (14%) ou le chapon (12%) renferment davantage de lipides, même si c’est toujours dans des proportions très raisonnables. D’autant que dans la plupart des cas, les graisses des volailles – celles du canard notamment – présentent la particularité d’être particulièrement riches en acides gras poly-insaturés, les plus protecteurs sur le plan cardiovasculaire.
Si vous attachez de l’importance à la teneur en matière grasse, veillez à bien choisir le mode de cuisson. Par exemple, la cuisson dans son jus est plus grasse puisque les graisses de la peau tombent dans ce qui va constituer la sauce. Et même si vous décidez de ne pas manger la peau, conservez-la sur l’animal durant sa cuisson au four. Elle contribue en effet, à préserver le moelleux de la chair.
Outre leur bon rapport protéines/lipides, les volailles constituent également d’excellentes sources de vitamines A et B. Elles apportent de nombreux minéraux, comme le zinc. Elles présentent tout de même un léger défaut. Une viande blanche issue d’une volaille contient deux fois moins de fer qu’une pièce de bœuf par exemple. Katia Tardieu relativise toutefois cet inconvénient. Les volailles renferment du fer héminique, qui en est la forme la mieux assimilée par l’organisme ». Les volailles ont donc presque tout bon. En plus, les enfants adorent…
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