S’assurer pour emprunter quand tout va bien, c’est facile…

29 avril 2004

Nous connaissons tous l’histoire selon laquelle quand on cherche un crédit, il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade… Elle est vieille comme le code des assurances. Pourtant, la loi du pire n’est pas toujours la règle !

Comme les conducteurs radiés de toutes les compagnies peuvent s’adresser au Bureau central de Tarification (BCT) pour qu’il les fasse assurer par une compagnie – à un prix prohibitif – les candidats à l’assurance disqualifiés par leur dossier médical peuvent “bénéficier” de clauses supposées préserver leur droit à l’assurance. C’est le cas notamment des conventions Belorgey.

Cette approche a l’inconvénient d’être faite dans le cadre de contrats de groupe. Tous les dossiers y sont amalgamés, assimilés en termes de risque et soit récusés en bloc, soit acceptés très souvent… à des tarifs très élevés et des conditions particulièrement restrictives. Dans ce cadre, il est rare d’obtenir des prêts importants ou à long terme. Le maximum est en règle générale de l’ordre de 150 000 €, sur 10 à 12 ans.

Comment faire lorsqu’on est séropositif – au VIH, au virus de l’hépatite B ou C – et que l’on souhaite emprunter sur 15 ans ? Ou lorsque des antécédents de dépression nerveuse font qu’aucun professionnel ne vous assure contre les arrêts de travail et vous impose une couverture décès à 4 fois le tarif habituel ? Sans oublier les diabétiques ou les cardiaques qui, eux aussi, ont le droit de souhaiter s’offrir un toit… Clair Caillon anime, à Nantes, une structure de courtage en assurances spécialisée dans les risques aggravées. Il a crée Handi Assur pour apporter une réponse la plus favorable possible à ce genre de problème. Elle prend en charge ces risques hors normes – formule consacrée… – mais d’une manière originale. Chaque dossier est traité individuellement.

Aux offres groupées qui semblent conçues pour être dissuasives, il préfère une segmentation des dossiers, soumis cas par cas aux assureurs et… sur lesquels il affirme obtenir un accord dans 97% des cas, toutes pathologies confondues. Avec des tarifs accessibles à la grande majorité des personnes candidates à l’assurance. En effet, la cotisation moyenne constatée est de 60 euros par mois. Dans le cas d’un ancien dépressif, par exemple, l’assurance décès est accordée sans surprime ! Alors que les contrats sous Convention Belorgey peuvent atteindre 5 fois le tarif d’une assurance standard, le différentiel qu’il observe ne dépasse pas selon lui 25% à 150% selon les circonstances.

L’assurance est toujours trop chère… sauf quand on vous refuse le droit d’y accéder. Alors, on mesure la valeur d’une protection efficace. Votre assureur ou votre banque vous font des misères ? Vous avez le sentiment de vous être fait attaquer au coin d’un bois ? Essayez toujours d’appeler le 02 40 73 45 08 ou sur internet, d’aller sur www.handi-assur.com

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