











« L’activité physique est manifestement bénéfique, et c’est prouvé par l’ensemble des études tant sur le plan physique que psychique » confirme le Dr Cécile Donzé, médecin rééducateur au Centre hospitalier de Lomme (Nord). Par exemple, chez les personnes atteintes de SEP ayant suivi un programme de gymnastique aquatique, les fonctions des bras et des jambes sont améliorées. Au même titre que l’équilibre et la coordination des mouvements.
Bien sûr, cette activité entraîne un état de fatigue. C’est à la fois normal et réversible. Pour autant, grâce au sport la fatigabilité propre à la SEP, ainsi que le stress diminuent. Sans compter que le simple fait de bouger permet de lutter contre l’atrophie musculaire et les troubles articulaires. Le patient acquiert également de nouveaux réflexes, plus vifs.
En fait, il n’existe pas de contre-indications formelles à la pratique d’un sport ou d’une activité physique pour un patient atteint de SEP. Il peut toutefois y avoir des contre-indications temporaires liées à l’évolution de la maladie. Le neurologue et l’équipe pluridisciplinaire qui prend en charge le patient, conseilleront les exercices physiques ou le sport le mieux adapté à chaque cas.
Source : L’Hospitalier, octobre 2010 - ARSEP, site consulté le 17 février 2001
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.
Ce site utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.