











Tout comme le moteur de recherche Kelmed, ipharmacien propose un tableau d’équivalence princeps/générique. Il vous propose même de rentrer les posologies des traitements suivis. Et les horaires auxquels vous devez les prendre, avec rappels à la clé. Un bon point pour l’observance.
D’ailleurs, l’on ne compte plus les applications dédiées à l’observance, tant pour les médicaments que pour la pilule contraceptive. Il y en a également, qui proposent d’accompagner votre grossesse (igrossesse, magrossesse…). Et si vous n’êtes pas formé aux gestes de premiers secours, téléchargez 1ers secours. Vous aurez un condensé des informations utiles pour réaliser les bons gestes face à une victime d’accident ou de malaise.
Toutes les « applis santé » toutefois, ne se révèlent pas aussi utiles. Si vous souhaitez arrêter de fumer par exemple, mieux vaut consulter un professionnel de santé. Vous pouvez bien télécharger tabacbesoin. Mais après avoir indiqué la marque de cigarettes que vous fumez, le nombre de paquets consommés par semaine, vous n’aurez « que » l’équivalent de ce que vous coûte votre tabagisme. Suffisant pour se laisser convaincre ? Pas sûr. Dans tous les cas, avant de télécharger une application, vérifiez bien si elle est gratuite ou payante. Ou si elle ne vise pas à vous entraîner plus ou moins ouvertement vers des services payants.
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