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© shisu_ka/Shutterstock.com
Bien sûr, personne n’aime échouer. Mais oui, l’échec peut engendrer la création. A condition de l’avoir accepté ! Pas une mince affaire ? Il n’empêche : « pour que l’échec soit une opportunité de rebond, encore faut-il le percevoir comme tel », souligne d’emblée le consultant Fred Colantonio, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet. « Or, trop souvent, il arrive que cette conception soit masquée de notre champ de conscience ». Pour des questions le plus souvent d’orgueil, de désespoir et pourquoi pas de « lâcheté » qui nous empêchent de percevoir cet échec comme « une occasion d’apprendre ».
En premier lieu, il s’agit donc de changer notre regard sur l’échec, condition sine qua non pour qu’il soit potentiellement considéré comme une invitation à explorer des contrées, des chemins que nous n’aurions pas explorés sans lui. Ou, au minimum, à se poser d’autres questions… Il nous libère en quelque sorte du temps pour réfléchir à une autre approche – une réorientation professionnelle…- ou toute envie jusqu’ici inassouvie, voire à peine envisagée. Comme s’il augmentait notre potentiel créatif et notre envie d’apprendre.
Dans ce contexte, l’échec nous aide également à mieux nous connaître et, pourquoi pas, à grandir, à progresser. Sans compter qu’il nous confère aussi une forme d’humilité. Comme une façon de nous rappeler que rien n’est acquis, ni simple.
Source : Rebondir sur l’échec. Fred Colantonio. L’attitude des héros Editeur.
Ecrit par : David Picot – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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