Tabac: il n’est pas encore trop tard

14 mai 1997

Il n’est jamais trop tard pour cesser de fumer quand on veut se protéger contre les maladies coronariennes. Ce principe est toujours valable, qu’il s’agisse de prévention primaire – avant l’angine de poitrine ou l’infarctus – ou de prévention secondaire – après l’accident pour éviter les rechutes ou les récidives.

Il est aujourd’hui largement démontré que la réduction des facteurs de risque de l’athérosclérose peut retarder le développement de la maladie coronarienne. Si l’on ne peut rien contre la prédisposition génétique en dehors de traitements systématiques, les autres facteurs – hypertension, excès de cholestérol ou de sucre – , sont accessibles aux traitements mais aussi à la volonté personnelle: modification des habitudes alimentaires et surtout suppression du tabagisme.

Selon diverses études, le risque cardiaque diminue de 30 à 50 % dans les 2 ans qui suivent l’arrêt du tabac. A contrario, les récidives et les décès sont trois fois plus élevés parmi les malades qui continuent à fumer après un infarctus. Le risque cardiaque diminue de 30 à 50 % dans les 2 ans qui suivent l’arrêt du tabac

  • Source : Dr Gullette, dans le JAMA du 21 mai 1997, cité par Impact Quotidien

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