











Pour parvenir à ce résultat, elle a placé une partie de sa cohorte sur des… tapis roulants (à raison d’une heure par jour) tandis que les autres « sujets » étaient abandonnés à leur sédentarité forcée. L’étude s’est étalée sur six mois mais, « au bout de 5 semaines, nous avons progressivement inclus des exercices destinés à évaluer leurs capacités cognitives », explique-t-elle.
Résultat, au terme de ce travail « nous avons observé que les ‘sportifs’ étaient plus performants aux tests cognitifs ». Sur le plan physiologique enfin, « ils présentaient aussi un volume vasculaire plus important au niveau du cortex cérébral, que leurs autres congénères ». Et a ses yeux aucun doute, ces résultats sont transposables à l’Homme…
Source : Neuroscience, 26 avril 2010
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