











Le Pr Irina Buhimschi et son équipe de la Yale University, ont identifié une protéine présente dans les urines de femmes enceintes. Son nom de code, SERPIN-A1. Cette découverte leur a permis de mettre au point un test simple, rapide et non-agressif qui détecterait précocement la survenue d’une pré-éclampsie.
« L’identification de cette protéine pourrait également ouvrir la voix au développement de nouveaux traitements », s’enthousiasme le Pr Buhimschi. Rappelons que la pré-éclampsie prélude généralement à une éclampsie, un trouble extrêmement grave à l’origine de convulsions parfois mortelles. Près de 3% des femmes enceintes dans le monde, sont concernées par la pré-éclampsie oul’ éclampsie. Et les deux réunies, représenteraient 12% des décès liés à la grossesse.
Source : Yale University, 30 janvier 2009
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