











Le Pr Gregorio A. Millet et ses collègues sont parvenus à cette conclusion à partir d’une méta-analyse, c’est-à-dire la compilation de plusieurs études. Quinze en l’occurrence, qui prenaient en compte un total de 53 567 homosexuels de sexe masculin, dont la moitié avait été circoncis.
« La probabilité d’être infecté par le VIH n’est pas significativement inférieure chez les sujets circoncis, en comparaison avec des homosexuels non circoncis », précise l’auteur. L’explication ? « Avec l’arrivée des trithérapies, nous avons observé un véritable relâchement de la vigilance. Notamment dans la population des homosexuels masculins dont les comportements à risque ont considérablement augmenté ces dernières années ».
Source : JAMA, octobre 2008
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