











A la demande de lOMS et de lONUSIDA, un groupe dexperts sest penché sur les principaux modes de transmission du VIH en Afrique subsaharienne. Et ils confirment que limmense majorité des contaminations est bien due aux rapports sexuels non protégés.
« Contrairement à ce qui était signalé dans des articles récents, la plupart des cas ne sont donc pas dus à des pratiques médicales dangereuses, en particulier les injections » soulignent les responsables de lOMS. La part des infections à VIH imputables à ces pratiques est ainsi évalué à 2,5% seulement.
« En Afrique subsaharienne, les rapports sexuels non protégés sont de loin le mode de transmission prédominant. Les programmes de prévention doivent donc continuer à privilégier une sexualité à moindre risque ». LOMS rappelle également que « les injections ( ) ne doivent être utilisées quen cas de nécessité médicale et administrées quau moyen de matériel jetable, éliminé ensuite en toute sécurité ».
Source : OMS/ONUSIDA, 14 mars 2003
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