











Ce récepteur au doux nom de DC-SIGN est en effet impliqué dans les phases initiales de l’infection par le VIH. Le virus en effet, l’utilise pour se faire transporter intact jusqu’aux lymphocytes T, qu’il va ensuite infecter. Or la cible première du VIH est une variété particulière de lymphocytes T, les lymphocytes CD4.
Les auteurs semble-t-il, sont parvenus à mettre au point un composé qui s’oppose à ce processus de transfert du VIH aux lymphocytes. « Son efficacité est avérée in vitro. DC-SIGN représente donc une cible thérapeutique potentielle, qui n’a pas encore été exploitée jusqu’ici ».
Source : CNRS, 18 mars 2010
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