











Les 858 participants de la première étude menée à Exeter (Angleterre) avaient tous plus de 65 ans. Chez les patients carencés en vitamine D, les auteurs ont constaté une augmentation de 60% du risque de déclin mental et intellectuel. Dans le même temps, une équipe finlandaise a montré que cette carence pouvait être liée à un risque accru de maladie de Parkinson. En effet dans cette seconde étude, il s’est avéré que les patients dont le taux de vitamine D était le plus faible avaient un risque de maladie de Parkinson trois fois plus élevé que les autres. Toutefois, aucune relation de cause à effet entre les deux phénomènes n’a pu être démontrée, aussi bien dans un sens que dans l’autre.
Une hypothèse est toutefois avancée dans les Archives of Neurology : « la vitamine D pourrait protéger les neurones qui sont progressivement détruits par la maladie de Parkinson ». Rappelons que pour satisfaire nos besoins en vitamine D, la meilleure source reste encore l’exposition au soleil. Vous en trouverez aussi dans les œufs, les poissons gras, le lait entier…
Source : Archives of Neurology, 12 juillet 2010, JAMA et Archives Journals, 12 juillet 2010.
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.