











Cette forme de leucémie provoque la présence « d’un nombre excessif de lymphocytes (B en l’occurrence) d’aspect mature mais peu fonctionnels, dans le sang circulant et la moelle osseuse », explique la Société française d’Hématologie (SFH).
Près de 80% des cas de LLC sont découverts à l’occasion d’un examen de routine (bilan sanguin) et la majorité des patients sont asymptomatiques au moment du diagnostic. L’évolution est extrêmement variable, souvent très lente, à tel point que « nombre de malades ont la même espérance de vie que la population générale du même âge », enchaîne la FNCLCC.
Il existe trois stades de LLC (A, B et C), qui sont prédictifs de l’espérance de vie. S’il existe des traitements efficaces (chimiothérapie, anticorps monoclonaux, cortico-stéroïdes), beaucoup de patients (notamment ceux qui figurent en stade A et dont l’espérance de vie est supérieure à 10 ans) « n’en auront jamais besoin », conclut la FNCLCC.
Source : Fédération nationale des Centres de Lutte contre le Cancer (FNCLCC) - Société français d’Hématologie (SFH)
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.