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Marcher, courir, pédaler, nager mais aussi bricoler, jardiner… l’activité physique au sens large et pratiquée de façon régulière – 30 minutes par jour et 5 jours par semaine, au moins – optimise nos chances de conserver un cerveau au top de sa forme. Et ce, le plus longtemps possible.
Ses bienfaits apparaissent particulièrement reconnus sur différents aspects en prise directe avec notre cerveau.
L’activité physique améliore ainsi :
Au-delà de ces bénéfices, le fait de bouger exerce un véritable effet protecteur contre le risque de maladies neurodégénératives : maladie d’Alzheimer, de Parkinson… Au moins deux explications à cela : l’une concerne la matière grise – constituée de cellules nerveuses – qui serait plus volumineuse parmi les actifs que les sédentaires. L’autre vise les neurones : lorsque les muscles se contractent pendant l’exercice, ils libèrent quantité de substances biochimiques appelés myokines. Lesquelles favorisent le développement des neurones. De quoi retarder l’apparition de maladies neurodégénératives voire diminuer le risque de les développer.
Source : Fondation pour la recherche sur le cerveau (www.frcneurodon.org) - Institut de cardiologie de Montréal - Advanced Healthcare Maerials, 10 novembre 2024
Ecrit par : David Picot – Edité par Emmanuel Ducreuzet
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