











… faute d’y avoir commencé. Un article du Lancet sonne l’alarme : chaque année dans le monde, 5 millions de femmes sont hospitalisées à la suite d’un avortement non-médicalisé. Et donc réalisé dans de mauvaises conditions sanitaires.
Le Dr Susheela Singh de New York , a mené son étude dans 13 pays d’Asie, d’Afrique, d’Amérique latine et des Caraïbes. Un choix qui ne doit rien au hasard. Car souligne-t-elle, « quasiment tous les avortements non-médicalisés se produisent dans des pays en développement. »
Résultat, les taux d’hospitalisation pour IVG varient de 3 pour 1000 au Bangladesh à 15 pour 1000 dans des pays comme l’Egypte et l’Ouganda, aux infrastructures plus développées. « Les femmes paient un lourd tribu aux avortements non-médicalisés » poursuit l’auteur, insistant sur la promotion des moyens contraceptifs pour prévenir les grossesses non-désirées. « La poursuite de cet objectif doit devenir une priorité de santé publique dans les pays en développement ». D’après l’OMS, 100 000 décès maternels pourraient être évités chaque année si les femmes utilisaient un moyen contraceptif.
Source : The Lancet, vol.368, n°9550, OMS
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