











Parce que larrêt de lactivité hormonale des ovaires entraîne une carence en strogènes, des hormones féminines, la ménopause est suivie dune accélération brutale de la perte de masse osseuse, laquelle provoque à partir de la soixantaine les premières atteintes dues à lostéoporose. Le traitement hormonal substitutif proposé à partir de la ménopause préviendrait en partie ce risque mais son rapport bénéfice-risque nest pas unanimement reconnu. Quant aux traitements médicaux de lostéoporose, ils ne sont actuellement autorisés que chez la femme ménopausée qui a déjà été victime de fractures Cest dire lintérêt suscité par les travaux de lInstitut national de la recherche agronomique (INRA). Certaines de ses équipes travaillent actuellement à la mise au point daliments capables de pallier la carence hormonale et donc « mieux adaptés à la femme ménopausée ». Les recherches en cours, qui auraient déjà donné des résultats bénéfiques chez lanimal, sont fondées sur la production de substances naturelles (?) « ayant des propriétés analogues à celles des strogènes humains ».
Source : Mental Health Journal, Couler 317 (7153) 225
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.