Dis-moi où tu habites, je te dirai si tu es en bonne santé

L’Institut de Recherche et Documentation en Economie de la Santé (IRDES), s’est intéressé aux relations entre les zones d’habitation et l’état de santé des populations.

Sans surprise, les auteurs ont mis en évidence «un état de santé plus dégradé chez les habitants des zones urbaines sensibles (ZUS). » Ils montrent en effet, que « le fait de vivre dans un quartier où se cumulent les difficultés économiques et sociales augmente la probabilité de se déclarer en mauvaise santé ».

Autre enseignement, les habitants des zones récemment construites et avec une forte présence de jeunes semblent en meilleur santé. Notamment si on les compare avec ceux qui vivent dans des habitats anciens où loge une population plus âgée. Là encore, rien de très surprenant. Pour lire l’intégralité de l’étude, cliquez ici.

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  Source : IRDES, 17 mars 2009