Et un point de plus pour le PSA !

24 octobre 2005

Les hommes qui chaque année font réaliser un dosage de l’antigène prostatique spécifique (PSA) présenteraient trois fois moins de risques de décéder d’un cancer de la prostate que d’autres, pratiquant moins souvent cet examen.

Selon un travail mené par le Pr Jason Efstathiou, du Harvard Radiation Oncology Program, de Boston, le PSA reste le meilleur outil pour dépister un cancer de la prostate. “Il permet un diagnostic très précoce et donc la mise en oeuvre la plus rapide d’un protocole thérapeutique“.

Conséquences, ceux qui ne procèdent pas à la mesure annuelle de leur PSA ont un risque de décès par cancer de la prostate de 11,3%, contre 3,6% pour ceux qui passent cet examen chaque année. De nombreuses et vastes études sont en cours, aux Etats-Unis comme en Europe, pour confirmer définitivement l’efficacité du PSA.

  • Source : American Society for Therapeutic Radiology and Oncology, 19 octobre 2005

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