











Plus son taux est bas, plus l’espérance de vie serait longue. Ce mécanisme biologique n’a été observé pour l’heure, que chez la souris.
En recourant à des manipulations génétiques, l’équipe de Martin Holzenberger au Centre de recherche Saint-Antoine de Paris (INSERM 893) a diminué le nombre des récepteurs IGF présents dans le cerveau de rongeurs. Résultat, « Leur taux de mortalité à 100 semaines, l’équivalent de 70 ans chez l’homme, était 6 fois plus faible que la normale ».
Un bémol néanmoins : l’inhibition partielle de l’activité de cette hormone a entraîné plusieurs anomalies métaboliques. Parmi lesquelles des organes plus petits que la normale et un taux de glycémie augmenté. En contrepartie, ce fut aussi le cas d’ailleurs, du taux de HDL-cholestérol…
Source : INSERM, 28 octobre 2008
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