











De nouvelles données auraient permis à une équipe de Boston, aux Etats-Unis, de percer au moins en partie le mystère de la mort subite inexpliquée du nourrisson (MSIN). Les auteurs ont en effet relevé sur ses victimes, des anomalies du tronc cérébral.
L’équipe du Pr Hannah Kinney du Children’s Hospital de Boston, a procédé aux autopsies de 41 nourrissons dont 31 avaient été victimes d’une MSIN. Au terme de ce travail, Kinney a trouvé des anomalies de cette structure qui, au niveau du cerveau, gouverne un certain nombre de fonctions neuro-végétatives.
Ces dernières ont été plus précisément observées sur les cellules nerveuses qui gèrent la production et l’utilisation de la sérotonine. Rappelons que ce neurotransmetteur est impliqué dans la régulation de fonctions telles que la thermorégulation, les comportements alimentaires et sexuels, le cycle veille-sommeil… Ces informations permettraient selon l’auteur, d’espérer mettre au point d’ici quelques années un test prédictif.
Source : JAMA, 31 octobre 2006
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