











Selon l’Association pour l’Information et la Recherche sur les maladies rénales génétiques, « les études portant sur les effets d’un exercice physique mettent en évidence une amélioration de la capacité physique, ainsi qu’une amélioration du profil des lipides ». Il en résulterait une diminution du taux de triglycérides, une augmentation du taux de HDL-cholestérol, et de la tolérance au glucose.
Les sports qui sollicitent de manière excessive la pompe cardiaque et augmentent la tension artérielle doivent être évités. C’est notamment le cas de la musculation, et naturellement du tennis. Optez plutôt pour un sport d’endurance. La natation, le jogging, le cyclisme paraissent vraiment les meilleures options. Quant à la fréquence de votre pratique, orientez vous vers un minimum de trois séances par semaine, à raison de 30 minutes à une heure par session.
Tous ces paramètres devront être discutés avec le médecin. Chaque cas en effet, est particulier, et lui seul sera en mesure d’indiquer les précautions à prendre et de préciser les conditions idéales pour votre pratique. Il devra notamment s’assurer de l’absence de toute contre-indications d’ordre cardio-vasculaires. Après l’âge de 40 ans par exemple, et surtout après une période de sédentarité prolongée, un électrocardiogramme d’effort est indispensable. S’il vous donne son feu vert, il vous recommandera peut être de prendre également conseil auprès d’un entraîneur.
A noter que certains patients dialysés montrent l’exemple. C’est le cas de Jean-Louis Clémendot (photo ci-contre), qui a tout simplement… traversé l’Atlantique en solitaire sur un vieux yacht, alors qu’il est traité par dialyse. Un bel exploit réussi… en seulement trois mois.
Source : AIRG, site consulté le 8 mars 2011 –FAAIR, site consulté le 8 mars 2011
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