











Appuyer fort sur un pied puis sur l’autre tout en conservant le bassin et le dos bien droits… Le stepper requiert une bonne coordination. Un conseil : ne vous laissez pas décourager après la première utilisation. « Une fois sa technique bien assimilée, le stepper se montre diablement efficace », expliquent le Dr Stéphane Cascua et le journaliste Alain Dalouche, auteurs d’un ouvrage sur les Programmes de cardio-training.
Vous vous en apercevrez dès les premières « montées », le stepper fait travailler les cuisses ! Vous constaterez également qu’à l’inverse des appareils comme le rameur ou l’elliptique, les appuis deviennent plus souples et fluides au fur et à mesure que la résistance augmente. « La difficulté ne réside pas dans la résistance à pousser, mais dans le poids du corps à soulever », expliquent les deux auteurs.
Idéal pour préparer une rando en montagne
Ce constat signifie surtout qu’à faible résistance, il convient de pousser fortement sur les cuisses. Dans ce cas, l’effort est davantage musculaire que cardiaque. Et l’exercice s’apparente quasiment à une course sur place… En revanche, à plus forte résistance le stepper « revêt les spécificités du cardio-training et met le cœur en action ».
Avant de vous lancer, sollicitez les conseils du responsable de la salle ou – si vous achetez une machine – d’un vendeur spécialisé. Un professionnel vous expliquera les bons gestes à réaliser et les erreurs de postures à éviter. Comme le fait de basculer le torse vers l’avant, une position qui peut mettre la colonne vertébrale sous forte tension.
Voilà donc une machine idéale pour se remettre en forme, à combiner idéalement avec d’autres appareils comme le vélo, l’elliptique ou le rameur. Le stepper s’inscrit enfin parfaitement dans la préparation d’une randonnée en montagne ou une course nature. Prêt pour l’ascension ?
Source : Programme de cardio-training du Dr Stéphane Cascua et d’Alain Dalouche, Amphora, 300 pages, 22,90 euros
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