











Alors qu’en apparence, ils s’affirment donc incompétents sur le sujet, les académiciens considèrent en revanche « qu’au titre de sa mission médicale, l’Académie ne peut être favorable à la gestation pour autrui (GPA)».
La docte assemblée souhaite visiblement prendre toute sa place dans ce débat. L’Académie s’estime « tout à fait consciente de sa responsabilité médicale, il lui appartient d’apporter tous les éléments concernant les complications que pourrait entraîner une éventuelle reconnaissance législative, complications et situations complexes contre lesquelles elle met en garde ».
Rappelons que le débat actuel sur la GPA entre dans le cadre des Etats généraux de la bioéthique, lancés depuis le début de l’année. L’objectif étant de réviser les lois de bioéthique de 2004. D’autres sujets font également l’objet de débats : le prélèvement et la greffe, la médecine prédictive, la recherche sur les cellules souches et l’embryon, les diagnostics prénatal et préimplantatoire et enfin la procréation médicale assistée.
Source : Académie nationale de Médecine 10 mars 2009 ; Etats généraux de la bioéthique, 2009
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.
Ce site utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.