











La Cour « a reconnu le côté scientifique de l’exposition et a considéré qu’elle ne portait pas atteinte à la dignité humaine, ni ne créait de troubles à l’ordre public », souligne Pascal Bernardin (« Encore Events), dans un communiqué.
En revanche, elle a estimé qu’il appartenait aux organisateurs d’apporter « les preuves que les corps et organes présentés avaient une origine licite ». Hervé Laurent, consultant scientifique et médical de l’exposition est furieux. « Les personnes en question ont fait don de leur corps à la science de façon totalement anonyme. Il est impossible d’en savoir davantage sur leurs origines. Nous allons toutefois essayer d’obtenir auprès de The Anatomical Sciences & Technologies Foundation de Hong Kong, quelques éléments de procédures concernant leur recueil ».
Source : Encore Events, 30 avril 2009
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