











Avant de vous laisser vous élancer joyeusement à l’assaut des branchages, les responsables du PAH vous informeront sur les règles de sécurité. Ensuite, vous testerez vos capacités dans un « atelier témoin ». Enfin seulement, équipé d’un harnais et d’un mousqueton, vous pourrez évoluer le long d’un câble de sécurité sur le parcours choisi. Quel que soit son degré de difficulté, celui-ci est balisé de garde-corps et de filets anti-chutes. Et sur les parcours les plus difficiles, des échappatoires sont également prévues.
Toutefois pour améliorer la sécurité, la CSC recommande plusieurs mesures :
– Les pouvoirs publics devraient « rendre obligatoire le contrôle technique de la structure par des organismes d’inspection accrédités et indépendants » ;
– « Les normes européennes NF EN 15567-1 et 2 sur les PAH, doivent intégrer de nouvelles exigences de sécurité relatives à l’initiation des pratiquants et à leur information », demande aussi la Commission. Entre autres, le port obligatoire du casque et de gants serait une avancée en termes de sécurité ;
– Elle suggère également « la mise en place d’une signalétique de couleur sur les parcours, à l’instar de celle en vigueur sur les pistes de ski ». Du vert pour les parcours faciles au noir pour les plus difficiles.
Par ailleurs, la CSC « invite les pratiquants occasionnels à ne pas présumer de leurs forces ». Mieux vaut en effet, « choisir un parcours adapté à (votre) condition physique et à (votre) capacité à évoluer en hauteur ».
Source : Source : Commission de la Sécurité des Consommateurs (CSC), 20 juin 2011
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.