











Selon une enquête menée en France, la ménopause est plus difficilement vécue lorsqu’elle est provoquée chirurgicalement, plutôt que naturellement. Près d’une femme sur quatre affirme ainsi que ce type d’intervention a des répercussions extrêmement importantes sur leur vie familiale et privée. Elles ne sont en revanche que 14% dans ce cas parmi les femmes en ménopause naturelle.
Ce constat ressort d’un sondage Ipsos Santé/Procter & Gamble réalisé auprès de 604 femmes ménopausées âgées en moyenne de 60 ans. La moitié de la cohorte avait subi une ablation des ovaires – ménopause chirurgicale – les autres femmes se trouvant en ménopause naturelle.
Des symptômes plus nombreux et plus intenses, une activité sexuelle plus faible et une détresse psychologique plus importante… Autant de désagréments évoqués par les femmes ménopausées chirurgicalement. Ces dernières se plaignent également du manque de soutien des professionnels de santé.
Source : sondage Ipsos Santé/Procter & Gamble auprès d’un échantillon composé de 604 femmes ménopausées
Recevez chaque jour par e-mail les dernières actualités santé.
Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous offrir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre quelles sections du site Web vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Plus d'informations sur notre politique de cookies sur nos CGU.
Ce site utilise Google Analytics pour collecter des informations anonymes telles que le nombre de visiteurs sur le site et les pages les plus populaires.
Si vous désactivez ce cookie, nous ne pourrons pas enregistrer vos préférences. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies.