











Le Dr Pene Schmidt de l’Université de Melbourne, s’est lancé dans une enquête d’envergure. Avec son équipe ils ont analysé les données de 2 100 enfants de 4 à 12 ans. Ils ont également interrogé leurs parents sur la perception qu’ils avaient de la corpulence de leurs enfants.
Les résultats font apparaître une nette différence entre filles et garçons. Pour ces derniers, les parents sont moins enclins à reconnaître leur obésité ou leur anorexie. Du côté des enfants, quatre sur dix seulement reconnaissent avoir un problème de poids. De sorte que pour les auteurs, « cette étude montre qu’il serait nécessaire de définir très précisément à partir de quel moment les parents doivent réagir ».
Source : Université de Melbourne, 19 octobre 2008
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