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Et cet espoir a pour nom : la sécrétine. Il s’agit d’une hormone produite notamment, par l’amygdale cérébrale. Elle pourrait à l’avenir jouer un rôle dans le traitement de la schizophrénie, de la dépression, de l’autisme et des troubles bipolaires.
Des études avaient déjà suggéré qu’un dysfonctionnement de l’amygdale pouvait être lié au développement de ces maladies comportementales. A la Harvard Medical School de Cambridge, dans le Massachusetts, le Pr Deborah Yurgelun-Todd et son équipe ont tenté de vérifier cette hypothèse.
Grâce à l’imagerie par résonance magnétique (IRM), ils ont ainsi découvert que le cerveau réagissait de façons différentes à un même stimulus, selon qu’il était ou non en présence de sécrétine. Pour cela, ils avaient administré de la sécrétine directement dans l’amygdale cérébrale. Voilà donc une piste à explorer. Les auteurs de ce travail sont optimistes. A leurs yeux, des études complémentaires sur le rôle de la sécrétine pourraient aboutir à la mise au point de nouveaux traitements contre ces troubles.
Source : American Academy of Neurology - 56th Annual Meeting in San Francisco, 24 avril-1er mai.
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