Un p’tit tour de web en Afrique… et dans le reste du monde

Africapole, fasopresse, Tanmia ou encore Santé Tropicale… En Afrique, les portails d’information de qualité se multiplient sur le web. Prêts pour un tour d’horizon ?

Africapole se définit comme “une source d’échanges pour la Communauté Afro-antillaise et des Caraïbes“. Il propose deux entités : un espace business pour les entreprises et les entrepreneurs, et un autre de Détente. Il renferme quantités d’adresses utiles, de “bons plans” ainsi qu’une rubrique “actualité” (santé notamment) particulièrement dense.

Avec Fasopresse et Tanmia, vous vous rendez en un clic respectivement au Burkina-Faso et au Maroc. Le premier est principalement un site d’informations (société, culture, santé, arts…) dédié à ce grand pays d’Afrique subsaharienne situé entre la République de Côte d’Ivoire et le Togo. Le second oeuvre pour le développement du Maroc. En ligne des actus bien sûr. Mais aussi des adresses utiles d’associations, d’organismes de développement et de centres de documentation.

Plusieurs sites se consacrent aussi aux questions de santé. C’est le cas de Santé tropicale, véritable “guide de la médecine et de la santé tropicale“. Un site qui contient, en plus de ses actualités et d’une revue de presse des principaux journaux du continent noir, un “dictionnaire internet africain des médicaments“. Sur keneya.com, qui est édité au Mali, vous vous plongerez “au coeur de la médecine traditionnelle sur le net“.

De la médecine traditionnelle à 01sante.com, il n’y a qu’un pas et il vous ramène en Europe. Vous le franchirez en ouvrant la porte de cette pharmacie naturelle. Il y est question de phytothérapie, d’aromathérapie mais aussi d’esthétique et de diététique… Les “plus” ? De nombreuses rubriques pratiques et autres conseils donnés par un médecin qui, justement, n’hésite pas à renvoyer l’internaute vers son médecin traitant. Un bon point en ces temps où les médecines alternatives ou naturelles ont trop souvent tendance à cultiver l’opposition à la médecine classique.

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  Source : Institut de Veille sanitaire, 14 juin 2006