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L’exposition aux écrans ne serait pas le seul coupable incriminé dans l’endormissement tardif des enfants, ni dans leur agitation au cours du sommeil ou leurs cauchemars récurrents. Autant de points d’inconfort reconnus pour dégrader la qualité du sommeil.
Mais les gènes auraient peut-être aussi leur mot à dire. C’est en tout cas la question que se sont posés des scientifiques néerlandais. Le point de départ de leur étude, récemment publiée dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry, est la démonstration déjà validée que des « variants génétiques sont associés à l’insomnie et à la durée du sommeil chez les adultes ». Ces derniers se retrouvent-ils chez l’adulte ?
Pour le savoir, les chercheurs ont suivi 2 458 enfants. Il se trouve que « les enfants génétiquement prédisposés à l’insomnie (sur la base d’un score de risque polygénique mis au point pour les adultes) présentaient davantage de troubles du sommeil de type insomnie, tels que des réveils fréquents ou des difficultés à initier le sommeil, comme le rapportaient leurs mères ». En revanche, les enfants « génétiquement prédisposés à dormir plus longtemps avaient une durée de sommeil plus longue, mais étaient également plus éveillés pendant la nuit au cours de l’adolescence ».
Ces observations confirment qu’il existe bien un « trait de caractère “mauvais dormeur” tout au long de la vie ». Mais aussi « que la susceptibilité génétique d’un mauvais sommeil se transmet de l’adulte à l’enfant », souligne le principal auteur de l’étude, Desana Kocevska, PhD, de l’Institut néerlandais des neurosciences et du Centre médical universitaire Erasmus MC de Rotterdam. Avant de conclure : « cette découverte souligne l’importance d’une reconnaissance de ces troubles et d’une prévention précoces. »
Source : Journal of Child Psychology and Psychiatry, le 8 novembre 2023
Ecrit par : Laura Bourgault - Edité par : Emmanuel Ducreuzet
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