Peaux matures : nettoyez tout en douceur

20 juin 2017

Maquillage ou non, il est essentiel le soir venu de bien se laver le visage. Le défi quand la peau vieillit ? La débarrasser de toutes ses impuretés pour préserver un maximum d’éclat, tout en respectant sa nouvelle sensibilité. 

Années qui passent et ménopause rendent la peau plus fine, plus sèche, plus sensible. Durant les 5 années qui suivent ce grand chambardement hormonal, l’épiderme perd jusqu’à 30% de sa teneur en collagène. Les glandes sébacées fonctionnant au ralenti, le film hydrolipidique assure de moins en moins bien son rôle protecteur contre les agressions extérieures. Le teint devient aussi plus terne, sans parler du risque plus élevé de couperose. Attention donc à garder la main légère au moment du nettoyage.

L’idéal ? Une huile démaquillante que l’on rince avec un hydrolat de géranium. Si vous n’appréciez pas la texture de l’huile démaquillante, vous pouvez utiliser un lait démaquillant doux ou une eau micellaire et terminer par l’application d’un hydrolat de géranium ou d’une lotion sans alcool. Si vous ne pouvez pas vous passer du lavage traditionnel au savon et à l’eau, choisissez un nettoyant doux au pH physiologique et séchez soigneusement votre visage, en tamponnant délicatement avec un mouchoir en papier, sans frotter.

Préférez les masques aux gommages

Même si vous êtes tentée d’exfolier votre peau avec un gommage pour lui redonner de l’éclat, renoncez à ce rituel devenu trop agressif. Faites plutôt une fois par semaine un masque à l’argile violette. Pour optimiser son action, ajoutez à votre préparation 3 gouttes d’huile essentielle d’Hélichryse italienne (immortelle) bio. Elle limite la formation des rougeurs tout en raffermissant les tissus.

A noter : Au réveil, une brumisation d’eau thermale ou le passage d’un coton imprégné d’un hydrolat de géranium ou de lotion sans alcool suffit avant l’application de votre crème hydratante.

  • Source : Mon Site Beauté du Dr Nina Roos consulté le 20 juin 2017 ; « Dans ma peau » du Dr Yael Adler, Solar, 352 pages, 19,50 euros

  • Ecrit par : Aurélia Dubuc – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

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