











Pour prévenir le cancer du col de l’utérus, deux méthodes complémentaires sont à la disposition des femmes. La vaccination pour les jeunes filles n’ayant pas encore entamé une vie sexuelle active, et le frottis. Or près de la moitié des Françaises ne se fait pas dépister régulièrement. Pour les convaincre, l’Institut national du Cancer (INCa) insiste sur le rôle du médecin généraliste.
Chaque année en France, le cancer du col de l’utérus touche près de 3 000 femmes et cause près de 1 000 décès. Pour le prévenir, la vaccination contre les HPV 16 et 18, désormais recommandée pour les jeunes filles dès 11 ans, et le dépistage par frottis tous les 3 ans, pour les femmes de 25 à 65 ans sont essentiels. Pourtant, les Françaises sont encore aujourd’hui 40% à négliger le frottis. En particulier les femmes de 50 à 65 ans, celles des catégories socioéconomiques défavorisées ou habitant certains départements à faible densité de gynécologues.
Bien que le dépistage soit fortement lié au suivi gynécologique, le rôle du médecin généraliste est primordial.. L’INCa rappelle son influence sur cette pratique de prévention auprès des patientes :
Ecrit par : Dominique Salomon – Edité par : Emmanuel Ducreuzet
Source : INCa, 11 juin 2013
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